12e Salon de la Jeune Peinture (1961)

Raymond Charmet dans " Arts " du 11 au 17 janvier 1961, " Salon de la Jeune Peinture " :

" (…) La nature morte intéresse toujours les peintres, parfois organisée en vastes compositions. Cueco, Forissier, Aberlenc y déploient une science subtile. (…) "

Raymond Cogniat dans " Le Figaro " du 18 janvier 1961, " Les arts – Salon de la Jeune Peinture " :

" (…) la première salle réunit la plupart des vedettes de ce Salon et prend ainsi un caractère de salle d’honneur. Nous y trouvons en effet Lesieur, René Genis, Bardone, Cottavoz, Brasilier, Guiramand, Mayet, Petit, Weisbuch, Garcia-Fons, Fabien, Dujarric, Giraud de l’Ain, Canjura, Cueco, Garanjoud, auxquels s’ajoutent, dans la salle suivante, Fusaro, Aberlenc, Miailhe, Thiollier, Rosso, mêlés à quelques autres moins réputés. C’est dire qu’en peu d’espace on a réussi un ensemble très significatif d’un certain courant de la jeune peinture ; la suprématie de la couleur s’y impose avec évidence et si la figuration y est respectée, on sent bien que dans la plupart des cas, le thème reste un prétexte et qu’il y a autant de volonté de s’exprimer par des moyens plastiques que dans les salons non figuratifs. Le même esprit se retrouve dans les salles suivantes, avec des noms inconnus et des tempéraments moins affirmés. (…) "

Juliette Darle dans " L’Humanité " du 18 janvier 1961,Les arts et la vie – Le XIIe Salon de la Jeune Peinture " :

" (…) La nature morte de René Aberlenc marque une étape décisive dans l’évolution du peintre, celle de la conquête des couleurs claires. Il ne s’agit point là d’une recherche arbitraire, mais d’une connaissance plus intime des objets, de leurs rapports, de la lumière qui circule entre eux ... (…) "

Jean Rollin dans " France Nouvelle " du 18 janvier 1961,Salon de la Jeune Peinture " :

" (…) Parmi les auteurs de natures mortes, enfin, Cueco, Tejero et Aberlenc, en pleine possession de son beau métier aux orchestrations sonores, proclament les ressources d’un genre dont l’ancienneté est attestée par le souvenir des mosaïques du grec Sôsos et par les fresques découvertes à Pompéi, Herculanum et Stabies. (…) "